Pélerinage à Lisieux, sur les pas de sainte Thérèse

Pélerinage en photos, sur les pas de Sainte Thérèse, à Lisieux. A la Toussaint 2024.

: La basilique se dévoile, imposante pour la ville de Lisieux, 20000 habitants. Elle est nichée dans les hauteurs et surplombe la cité Thérésienne.

: De style composite (dit romano-byzantin), l’architecture de la basilique est fortement inspirée par celle de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre à Paris1

: Une annexe récemment construite accueille les reliques des parents de Sainte Thérèse, Louis et Zélie Martin.

: La châsse finement ouvragée. A gauche, la famille Martin en prière devant la vierge au sourire. Au milieu, les membres de la famille. Notez les inscriptions en forme d’auréole pour ceux déjà canonisés. Louis tient dans ses mains le voile de Véronique. La famille avait une grande dévotion envers la Sainte Face. A droite, sainte Thérèse , accompagnée de son père et de son chien, fait l’aumône aux pauvres.

: Le tombeau de Sainte Thérèse, dans la chapelle du carmel. Il y a constamment des bouquets de fleurs déposés . La vierge du sourire est installée en hauteur, au dessus de la chasse. Des reliques de Sainte Thérèse parcourent le monde entier.

: Cette sainte Thérèse serrant un crucifix et des fleurs contre son cœur fut reproduit a plusieurs centaines de milliers d’exemplaire. Une manufacture de Lisieux les produisait en grande quantité.

: L’arbre généalogique de la famille Martin. Les vocations y furent nombreuses ; témoignant d ‘une forte atmosphère de piété.

: Thérèse en Jehanne d’Arc Elle écrivit elle même un pièce de théâtre sur le thème de la pucelle d’Orléans. La pièce était jouée lors des récréations du Carmel.

: Après son départ d’Alençon, la famille Martin s’installe aux Buissonnets en novembre 1877, maison trouvée, en location, par l’oncle Isidore Guérin, pharmacien à Lisieux. Thérèse y habitera dès l’âge de 4 ans et demi jusqu’à son entrée au Carmel à 15 ans.

: La vierge au sourire .Aux Buissonnets, la statue est placée sur une commode dans la chambre de Marie et Pauline, chambre dans laquelle Thérèse sera alitée pendant sa maladie à l’âge de 10 ans. Priant avec ses sœurs la sainte vierge, se tourant vers la statue, elle fut » guérie sur le coup »: « »Tout à coup la Sainte Vierge me parut belle, si belle que jamais je n’avais rien vu de si beau, son visage respirait une bonté et une tendresse ineffable, mais ce qui me pénétra jusqu’au fond de l’âme ce fut le «ravissant sourire de la Sainte Vierge». « » La statue se trouve désormais dans la chapelle du Carmel, au-dessus de la châsse de sainte Thérèse. Il s’agit donc ici d’une copie.

: Le rez-de-chaussée des Buissonnets. monsieur Martin était horloger, Zélie , sa femme, dentelière. L’horloge sous une cloche, au fond de la pièce, dispose d ‘un mécanisme réalisé par monsieur Martin.

: Objets d’enfance des sœurs Martin. Un kaléidoscope est posé sur le bureau.

: Un pièce présente les jouets conservés des enfant Martin, cela donne un bon aperçu de la vie d’une famille bourgeoise en deuxième partie de XIXè siècle

: La cathédrale Saint Pierre de Lisieux . Joyau architectural de l’art gothique normand, presque millénaire. Sainte Thérèse a vécu ici sa première confession et assistait aux messes dominicales avec son père et ses sœurs depuis une petite chapelle absidiale. On peut également y admirer l’autel qui a été érigé grâce à une donation de Louis Martin, le père de sainte Thérèse. L’évêque Cauchon, ordonnateur du procès s de Jeanne d’Arc, fut évêque du lieu.

: Le chevet de la cathédrale de Lisieux . La ville est richement dotée en édifices religieux: la cathédrale, la basilique, le carmel et une grande église. A tel point que l’ édification de la basilique créa une inquiétude dans le clergé local: comment financer tout cela? … Mais plus de 100 ans après, les pèlerins continuent à affluer du monde entier.

: L ‘imposante abbaye aux hommes de Caen. Le bâtiment domine la ville qui fut en grande partie rasée lors des combats de la libération. Elle fut fondée par Guillaume Le Conquérant, qui repose dans le cœur.

: L’architecture normande religieuse est austère mais particulièrement impressionnante, peu de statues ou d’ornements, qui auraient bien du mal à résister aux intempéries.

: C’est ici, au couvent des visitandines de Caen que repose Léonie Martin, sœur de sainte Thérèse. Son procès de béatification ouvre en 2015. Le couple Martin eut 4 filles religieuses, 3 carmélites et une visitandine.

: Le couvent des visitandines de Caen présente de magnifiques vitraux, notamment sur le thème de la dévotion au sacré-cœur

: Retour dans la basilique. Dans l’aile gauche, le musée de cire représente les événements marquant de la vie de la petite Thérèse. Ici sa naissance , Autour du berceau, ses parents Louis et Zélie (eux même canonisés en 2015). et ses sœurs. Les époux Martin eurent 9 enfants , plusieurs sont morts en bas âge.

: La future saint Thérèse, à peine âgée de 15 ans, demande une dérogation au pape Léon XIII pour rentrer au Carmel.

: Veillée de prière à la Basilique. Les pierres se teintent de rose au soleil couchant.

: Le Saint Sacrement exposé. Plus de 1000 personnes sont présents lors de cette veillée « pétales de roses » , en référence à la pluie de grâces spirituelles que Thérèse annonçait sur son lit de mort, « Après ma mort, je ferai tomber une pluie de roses »

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